L’éducation

Quelques extraits tirés des oeuvres de Viret à lire et à entendre
 

Des pères et des mères soucieux de leur mission éducative
Viret considère que les deux parents, autant les pères que les mères, doivent contribuer à l’éducation des enfants. Le modèle animalier qu’il donne concernant cette égalité des sexes dans le soin du ménage et des enfants est celui des colombes et de leurs « maris », les colombs.

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A l’école des bœufs marins : apprendre petit à petit
Pour Viret, il faut garder une juste mesure dans l’éducation des enfants : le risque de dégoûter ceux-ci de l’étude par une charge de travail excessive, ou en voulant leur apprendre trop de choses trop vite, est tout autant présent que le danger de leur lâcher totalement la bride. Se basant sur les textes antiques de Plutarque, Viret donne en exemple les boeufs marins, qui habituent progressivement leurs enfants à nager dans la mer, en se souciant qu’ils y prennent du plaisir.

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Gare aux enfants trop gâtés !
Par une comparaison avec les singes, qui portent partout avec eux le petit qu’ils préfèrent, au point de l’étouffer, Viret met en garde les parents de ne pas trop gâter leurs enfants.

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Le pari de l’éducation et de la culture…
Viret, comme tous les humanistes de son temps, accorde un pouvoir immense à l’éducation. Celle-ci a plus de poids que la nature (nous dirions aujourd’hui les gènes) dans le développement des êtres humains. Pour expliquer que l’éducation, appelée « nourriture » en français du XVIe siècle, surpasse la nature, Viret relate une anecdote tirée de l’histoire de la Grèce antique.

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Les jeunes Vaudois aussi aptes à l’étude que les autres
Viret cherche à persuader ses contemporains vaudois que leurs enfants sont eux aussi capables d’étudier et d’apprendre les « bonnes lettres ». Il se bat contre le dicton populaire « ce pays n’est pas terre à clercs », qui laisse croire que les petits Vaudois ne seraient pas doués pour les études.

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Hans Holbein le Jeune (1497/98 – 1543), Enseigne d’un maître d’école, 1516
Détrempe vernie sur bois, 55,5 x 63,5 cm
(Kunstmuseum Basel (n° d’inv. 310), photo Kunstmuseum Basel, Martin P. Bühler.

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