Note
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Annoncée en novembre 1768 dans la Gazette littéraire et universelle, cette traduction due à Johann Rudolf Frey des Landres (v. la lettre adressée par François Grasset à Albert de Haller le 22 décembre 1771, BBB Ms. Helv. 41, n° 80), précédée d'un avant-propos du Lausannois Gabriel Seigneux de Correvon et illustrée d'un frontispice à la gloire de la Grande Catherine, aurait dû constituer l'édition originale française de ce texte paru en 1768 à Saint-Pétersbourg en russe et publié la même année en allemand à Riga. Le libraire François Grasset, à l'initiative de cette traduction, a toutefois été coiffé au poteau par Fortuné-Barthélemy de Félice, à Yverdon, qui en a imprimé en février 1769 une version différente pour le compte de la Société typographique de Berne (selon Perret), version mise sous presse également la même année par Jean-Marie Bruyset à Lyon (identifiable à son matériel typographique) sous l'adresse de "Saint-Pétersbourg" (285, [1] p.). Une troisième traduction a été publiée par Marc-Michel Rey à Amsterdam la même année (229 p.).
Edition imprimée par Abraham-Louis Tarin. |