La mention de Paris, Cellot, est fictive. Contrefaçon genevoise imprimée par E. Blanc pour Emanuel DuVillard, peut-être avec la participation de François Grasset à Lausanne qui annonce à la fin de la brochure intitulée Repentance de Mr. David qu'il débite ce Mémoire.
Aucune édition imprimée à Lausanne n'ayant été retrouvée, il est probable que Grasset ait acquis un certain nombre d'exemplaires de cette contrefaçon dont on retrouve divers exemplaires reliés avec les deux brochures de format in-4° publiées par ses soins en 1765 en relation avec l'affaire Calas (v. david-fr-repentance-65 et mercier-ls-calas-65).