Le 10
février 1965, Paul Robert est invité
à l'émission de Pierre Desgraupes.
«Lecture pour tous». Il se rend à
des conférences en Belgique et aux Pays-Bas,
puis en Suisse et en Allemagne.
Le 25 mars
1965 a lieu une réception au Cercle militaire pour célébrer
l'achèvement du dictionnaire. Ce jour-là, plus de
cinq cents personnes viennent féliciter Paul Robert et son
équipe.
Paul
Robert participe également au XIe
Congrès de Linguistique et de Philologie
Romanes à Madrid, à la Biennale de la
langue française à Namur, et à
la Foire internationale du livre à
Francfort, à la conférence à
Gand au centre Royal artistique et
littéraire.
A
Bruxelles, F. Bauer, Berlinois d'origine, Chef des
bureaux de la traduction de l'Euratom,
présentait ainsi son oeuvre: «Paul Robert a fait une
oeuvre fort utile pour ses compatriotes. Mais ce
qu'il ne sait peut-être pas et que je tiens
à lui dire devant vous, c'est qu'il n'existe
au monde aucun ouvrage semblable au sien et que sa
méthode de dictionnaire alphabétique
et analogique est une découverte de
portée universelle.»
Au mois
de mai 1966, Paul Robert part pour une
tournée de conférences au Canada. Il
rencontre le président de la corporation des
traducteurs professionnels du Québec, Marcel
Paré, et participe à plusieurs
émissions de Radio-Canada. Le 20 octobre, le
Robert reçoit la médaille d'or du
jury du «Prix du plus beau livre sur
alfa», pour sa nouvelle
présentation.
Naissance
de Jérôme, son petit-fils en
1967.
En mai
1967, le Club de la grammaire de Genève
décerne le Prix Vaugelas à
«l'auteur qui a le mieux travaillé
à la défense de la langue
française».
En
novembre, Paul Robert retrouve Marcel Paré
et envisage la rédaction de dictionnaires
bilingues à partir du Petit Robert.
Naissance
de Dominique, sa petite-fille.
En avril
1968, Paul Robert se rend au XIIe Congrès de
Linguistique et de Philologie Romanes à
Bucarest où Alain et Josette Rey
présentent des communications.
Nouvelle
tournée de conférences à la
fin de l'année en Suisse romande.
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